J’ai testé 3 attaques de phishing sur mon équipe : voici les résultats

Selon une étude récente, 97 % des utilisateurs peinent à identifier un email de phishing sophistiqué. Ce chiffre, alarmant, met en lumière une vulnérabilité majeure au sein des organisations : le manque de sensibilisation et de formation en cybersécurité. Dans un contexte où les attaques sont de plus en plus ciblées et réalistes, la vigilance des collaborateurs devient une ligne de défense essentielle.

C’est dans cet esprit que j’ai mené une expérience de phishing interne au sein de mon équipe, avec un objectif clair : évaluer leur capacité à détecter et à réagir face à différents scénarios d’attaques numériques. L’enjeu ? Identifier les failles humaines pour mieux adapter nos stratégies de protection des données et des systèmes.

Dans cet article, je vous emmène dans les coulisses de cette campagne, conçue autour de trois situations réalistes pouvant survenir dans un environnement professionnel :

  • Un email simulant une mise à jour système urgente.
  • Une invitation factice à un webinar.
  • Un message urgent prétendument envoyé par le PDG.

Chaque scénario a été élaboré pour tester la vigilance, la rapidité de réaction et la capacité à appliquer les bonnes pratiques en matière de cybersécurité. Les résultats, parfois surprenants, offrent un éclairage précieux sur les comportements face au phishing et ouvrent la voie à des actions concrètes pour renforcer la sécurité de l’information au sein des entreprises.

Expérience de phishing interne : méthode, objectifs et enseignements clés

Dans un environnement numérique où les cyberattaques se perfectionnent sans cesse, le phishing demeure l’une des menaces les plus fréquentes et les plus redoutables. Exploitant les failles humaines plutôt que techniques, il peut contourner les meilleures défenses technologiques. Conscient de cet enjeu, j’ai mis en place une expérience de phishing interne, spécialement conçue pour évaluer la vigilance de mon équipe et renforcer nos pratiques de cybersécurité.

L’objectif était double : mesurer la capacité des collaborateurs à détecter et signaler des tentatives d’hameçonnage, tout en consolidant une véritable culture de la cybersécurité. Pour y parvenir, j’ai élaboré une méthodologie précise reposant sur l’envoi d’emails frauduleux simulés, inspirés de situations professionnelles courantes. Chaque scénario, volontairement de plus en plus sophistiqué, visait à tester des réflexes spécifiques : analyse des liens, vérification des expéditeurs, ou encore détection d’éléments suspects dans le contenu.

Cette initiative, bien plus qu’un simple test technique, s’inscrit dans une démarche proactive de formation continue. Elle permet d’ancrer les bons réflexes et de développer un état d’alerte constant face aux menaces numériques.

Les résultats obtenus offrent des enseignements précieux, non seulement pour notre organisation, mais aussi pour tout professionnel souhaitant comprendre les mécanismes psychologiques exploités par le phishing. Dans les prochaines sections, nous analyserons en détail les scénarios mis en place, les comportements observés et les leçons essentielles à retenir pour renforcer la résilience d’une entreprise face aux cybermenaces.

Objectifs stratégiques de l’expérience de phishing interne

Cette campagne de phishing interne a été conçue pour évaluer de façon précise et opérationnelle la réactivité de notre équipe face à des scénarios variés et réalistes d’hameçonnage. L’enjeu principal est double : détecter les points forts et les vulnérabilités dans les comportements des collaborateurs, tout en mesurant l’efficacité réelle de notre programme actuel de sensibilisation à la cybersécurité.

L’un des indicateurs clés recherchés consiste à déterminer le pourcentage d’employés susceptibles de cliquer sur un lien ou d’ouvrir une pièce jointe provenant d’un email non sollicité. Ce chiffre, obtenu dans un contexte simulant une véritable attaque, permet de mesurer le niveau de vigilance “naturel” de l’équipe avant toute action corrective ou renforcement de formation.

💡 Astuce de pro : Pour garantir la fiabilité des données, il est essentiel d’informer uniquement les managers de la tenue de l’exercice, sans en révéler les détails aux employés. Cela préserve la spontanéité des réactions et reflète plus fidèlement leur comportement en situation réelle.

Au-delà des chiffres, l’analyse des résultats vise à mettre en évidence des schémas récurrents d’erreurs, des réflexes manquants ou des signaux ignorés. Ces constats alimenteront l’adaptation de nos programmes de formation, afin de les rendre plus ciblés, immersifs et efficaces. L’objectif final est clair : transformer les enseignements de cette expérience en actions concrètes pour renforcer la vigilance collective et élever le niveau global de protection face aux cyberattaques à venir.

Méthodologie et déroulement de l’expérience de phishing interne

Pour évaluer avec précision la résistance de notre équipe aux tentatives d’hameçonnage, nous avons adopté une approche structurée couvrant un éventail de techniques de phishing fréquemment employées par les cybercriminels. Trois scénarios distincts ont été soigneusement élaborés afin de reproduire des situations plausibles rencontrées dans un contexte professionnel :

  1. Fausse mise à jour système : Un email alertant sur la nécessité d’une mise à jour urgente, imitant les notifications légitimes envoyées par l’équipe IT.
  2. Invitation à un webinar inexistant : Un message exploitant l’urgence et le sentiment d’exclusivité pour inciter à cliquer sur un lien frauduleux.
  3. Message urgent prétendument envoyé par le PDG : Un courriel à forte autorité hiérarchique, exigeant une action immédiate, pour mesurer l’influence du facteur “pression de la direction”.

Pour rendre ces attaques crédibles, nous avons utilisé des solutions spécialisées comme Gophish et PhishSim, permettant une personnalisation poussée des emails et un suivi précis des interactions (clics, ouvertures, réponses). Chaque simulation reproduisait fidèlement les codes graphiques et rédactionnels de nos communications internes : logos, chartes graphiques, signatures, mise en page.

💡 Astuce de pro : Varier les scénarios lors des simulations permet de couvrir un spectre plus large de vecteurs d’attaque et d’entraîner les collaborateurs à repérer des signaux d’alerte différents.

La collecte de données a inclus :

  • le taux de clic sur les liens,
  • le nombre d’ouvertures de pièces jointes,
  • et les réactions post-réception (signalement, suppression, ignorance).

Cette analyse fine nous a permis d’identifier non seulement les profils les plus vulnérables, mais aussi les circonstances ayant favorisé les erreurs, ouvrant la voie à des actions correctives ciblées.

Sensibilisation : le premier rempart contre le phishing

La lutte contre le phishing ne repose pas uniquement sur des outils techniques, mais avant tout sur la vigilance humaine. Chaque collaborateur, du stagiaire au dirigeant, représente un point d’entrée potentiel pour une cyberattaque. Une formation continue et adaptée est donc indispensable pour réduire les risques.

Selon le rapport Verizon Data Breach Investigations, près de 30 % des incidents de sécurité impliquent une forme d’ingénierie sociale, dont le phishing reste la méthode la plus répandue. Un employé sensibilisé peut non seulement bloquer une attaque en amont, mais aussi alerter rapidement les équipes de sécurité pour limiter l’impact.

💡 Astuce opérationnelle : Intégrer des simulations régulières et réalistes dans les programmes de formation, illustrées par des exemples réels de phishing, augmente considérablement la mémorisation des bons réflexes.

Investir dans la sensibilisation n’est pas une dépense mais un choix stratégique : c’est assurer la protection des données, des systèmes et, in fine, de la réputation de l’entreprise.

Attaque n°1 : La fausse notification de mise à jour système

Dans un contexte où la cybersécurité est devenue une priorité stratégique, même une simple demande de mise à jour système peut servir de cheval de Troie à un cybercriminel. Notre première simulation exploitait précisément ce scénario, visant à mesurer la capacité de notre équipe à repérer une tentative de phishing habilement déguisée en communication interne de routine.

Cette simulation avait pour objectif de tester deux compétences essentielles : la vigilance face à un message à première vue légitime, et l’aptitude à détecter des indices subtils révélant une fraude. Les résultats ont permis d’analyser les comportements typiques et d’identifier des leviers pour améliorer la réactivité face à ce type de menace.

Conception de l’attaque

L’email frauduleux a été construit pour paraître parfaitement authentique tout en intégrant des techniques classiques utilisées par les attaquants :

  • Usurpation du domaine : utilisation d’un nom de domaine visuellement proche de celui de l’entreprise (ex. remplacer un “l” par un “1”) pour tromper l’œil lors d’une lecture rapide.
    💡 Astuce : Toujours vérifier attentivement l’adresse de l’expéditeur, surtout en cas de demande urgente.
  • Mimétisme visuel : reprise de la charte graphique, des logos, du format de signature et du ton habituel des communications IT.
  • Pression temporelle : ajout d’un délai strict (“24 heures pour appliquer la mise à jour”) afin de pousser à une réaction impulsive.
  • Page de connexion factice : le lien redirigeait vers un faux portail imitant parfaitement celui de l’entreprise, conçu pour capturer les identifiants.

Cette mise en scène réaliste a permis de mesurer à quel point un email apparemment anodin peut devenir une porte d’entrée vers des compromissions majeures si les réflexes de vérification ne sont pas systématiquement appliqués.

Réactions de l’équipe face à l’attaque « mise à jour système »

L’observation des comportements de l’équipe suite à l’envoi de l’email frauduleux a livré des enseignements révélateurs sur notre niveau de préparation face à une menace numérique pourtant classique. La majorité des collaborateurs ont fait preuve d’une prudence initiale, ce qui est encourageant, mais les chiffres montrent que des marges d’amélioration significatives demeurent.

Dès réception du message, environ 30 % des employés l’ont immédiatement signalé comme suspect, déclenchant la procédure interne de traitement des emails potentiellement dangereux. Ce réflexe exemplaire constitue un modèle que nous cherchons à généraliser à l’ensemble de l’organisation.

En revanche, près de 45 % ont cliqué sur le lien intégré, sans vérifier l’adresse de l’expéditeur ni s’assurer de l’authenticité du contenu. Ces clics ont automatiquement déclenché une redirection vers une page pédagogique expliquant la simulation et détaillant les bonnes pratiques à adopter pour détecter un phishing.

💡 Astuce pratique : Avant de cliquer, survolez toujours un lien avec la souris pour afficher l’URL réelle. Si celle-ci ne correspond pas à l’expéditeur attendu ou semble suspecte, abstenez-vous d’interagir.

À noter que certains collaborateurs ayant interagi avec l’email ont pris l’initiative de contacter directement le service IT afin de confirmer l’authenticité de la demande. Ce comportement démontre l’importance d’une communication fluide et accessible avec les équipes techniques, un facteur clé pour renforcer la résilience collective face aux cybermenaces.

En conclusion, cet exercice confirme que même des équipes sensibilisées doivent bénéficier de rappels réguliers et de formations continues pour ancrer durablement les bons réflexes face aux attaques de phishing.

Analyse des résultats de la première attaque

L’évaluation chiffrée de cette simulation « mise à jour système » met en évidence des tendances préoccupantes. Après analyse :

  • 40 % des destinataires ont cliqué sur le lien frauduleux.
  • 15 % ont tenté d’installer le fichier joint présenté comme une mise à jour critique.

💡 Astuce sécurité : En cas de demande urgente liée à des mises à jour ou installations, vérifiez systématiquement la source. Un appel direct ou un email indépendant adressé au service IT peut suffire à éviter un incident majeur.

Les entretiens réalisés après la simulation montrent que plusieurs employés se sont laissés piéger par la ressemblance frappante entre le message frauduleux et nos communications internes habituelles. Ce constat révèle un point de vulnérabilité important : la pression induite par l’urgence peut prendre le pas sur l’application des réflexes de sécurité, même chez des utilisateurs formés.

En définitive, cet exercice a validé nos protocoles actuels tout en soulignant la nécessité de renforcer la formation, notamment sur la reconnaissance des signaux faibles et la vérification systématique des requêtes urgentes. Ces résultats alimenteront l’optimisation de notre stratégie de sensibilisation et de défense.

Attaque n°2 : L’invitation à un faux webinar

Pour notre deuxième simulation, nous avons ciblé un autre vecteur très exploité par les cybercriminels : l’invitation à un événement en ligne. Avec la démocratisation du télétravail et l’essor des formations à distance, ce type de message est devenu courant dans les boîtes de réception professionnelles. L’objectif était de mesurer la capacité des collaborateurs à authentifier une opportunité de formation et à détecter les signaux d’alerte d’un message frauduleux.

Cette attaque s’appuie sur deux leviers psychologiques puissants : l’attrait pour des contenus perçus comme utiles à la carrière et la rareté suggérée par une invitation limitée. Les sections suivantes décrivent la conception de cette fausse invitation, les réactions observées et les enseignements que nous en avons tirés pour améliorer notre sécurité interne.

Création de l’invitation frauduleuse

La réussite d’un phishing par invitation repose sur un subtil mélange d’ingénierie sociale et de crédibilité visuelle. Pour cette simulation, nous avons imaginé un webinar intitulé « Les dernières tendances en cybersécurité 2023 », un sujet particulièrement attractif pour un public composé majoritairement de professionnels IT et de décideurs techniques.

Le design reprenait les codes visuels des véritables invitations professionnelles : logos connus, mise en page soignée, ton formel et structure claire. L’adresse de l’expéditeur a été subtilement modifiée grâce au spoofing, technique consistant à imiter un domaine légitime tout en insérant de légères variations quasi imperceptibles à l’œil non averti.

💡 Astuce : Survolez toujours les liens pour afficher l’URL réelle et comparez-la au domaine officiel de l’expéditeur. Une recherche rapide sur le nom de domaine peut également révéler si celui-ci est légitime ou frauduleux.

Le cœur du message reposait sur un Call-to-Action (CTA) convaincant — « Inscrivez-vous dès maintenant » — renforcé par une urgence artificielle incitant à agir sans délai. Cette combinaison visuelle et psychologique augmente considérablement le taux de clics, réduisant le temps laissé à la réflexion et à la vérification.

Réactions et interactions face à l’invitation frauduleuse au webinar

La campagne d’hameçonnage basée sur une fausse invitation à un webinar a suscité des comportements variés, révélant des niveaux de vigilance hétérogènes au sein de l’entreprise. Une partie des collaborateurs a rapidement identifié des signaux d’alerte — adresse d’expéditeur légèrement altérée, formulation inhabituelle ou incohérences dans la présentation — et a signalé l’email au service IT. Ce réflexe, exemplaire, témoigne d’une bonne assimilation des bonnes pratiques.

Cependant, une proportion significative d’employés a interagi avec le message en cliquant sur les liens proposés, ce qui, dans un contexte réel, aurait pu compromettre la sécurité de l’entreprise. L’analyse des journaux du serveur a mis en évidence que 40 % de ces clics provenaient de collaborateurs issus de départements recevant moins fréquemment de formations en cybersécurité. Ce constat pointe un besoin urgent d’élargir la couverture des programmes de sensibilisation à l’ensemble des équipes, sans distinction de fonction.

💡 Astuce : Organisez des sessions récurrentes sur les nouvelles méthodes de phishing et incitez vos collaborateurs à vérifier systématiquement l’authenticité des demandes inattendues ou urgentes.

Ce scénario démontre que la cybersécurité est une responsabilité collective. Chaque employé, quelle que soit sa position, doit devenir un maillon solide dans la chaîne de défense de l’entreprise.

Évaluation et enseignements de l’attaque

L’analyse de cette simulation a porté sur trois indicateurs clés :

  • le taux de clics sur le lien frauduleux,
  • le nombre de réponses au message,
  • et le nombre de signalements de l’email comme suspect.

Les résultats sont parlants : 35 % des collaborateurs ont cliqué sur le lien, un taux préoccupant qui confirme la nécessité d’un renforcement rapide des actions de formation. Point positif, 15 % ont signalé le message comme potentiellement malveillant, preuve d’une vigilance en progression mais encore insuffisamment partagée.

💡 Astuce pour les entreprises : Maintenez un cycle régulier de simulations de phishing et veillez à ce que les procédures de signalement soient simples, claires et accessibles. Accompagnez ces exercices de formations ciblées sur l’identification des emails suspects et sur la rapidité d’alerte aux équipes de sécurité.

Ces données confirment que la cybersécurité doit être traitée comme un réflexe professionnel quotidien. Plus la vigilance est entretenue, plus les risques d’intrusion sont réduits.

Attaque n°3 : Le faux message urgent du PDG

Pour notre troisième test, nous avons mis en œuvre une attaque de type whaling, ciblant la crédibilité et l’autorité de la direction. Le faux message, prétendument envoyé par le PDG, avait pour but de provoquer une réaction rapide et non réfléchie, exploitant le respect hiérarchique et la notion d’urgence.

Conception du message frauduleux

La réussite de ce type d’attaque repose sur la précision des détails et la cohérence stylistique.

  1. Sujet choisi : un transfert financier urgent lié à un contrat fictif, présenté comme une priorité absolue.
  2. Personnalisation : intégration de références à des projets réels et à des partenaires connus pour renforcer la crédibilité.
  3. Présentation : reproduction fidèle de la charte graphique, de la signature et du format d’email officiel du PDG.
  4. Ton : directif, ferme mais poli, avec des expressions comme « J’ai besoin de votre action immédiate ».

💡 Astuce de prévention : Ne jamais exécuter une demande urgente reçue par email sans vérification via un canal sécurisé (téléphone, messagerie interne).

Cette combinaison de réalisme visuel, de pression psychologique et de contexte crédible a permis de tester efficacement la résistance de nos collaborateurs à des attaques hautement ciblées.

Réception et comportement des employés

Les réactions ont été contrastées. Plusieurs collaborateurs ont immédiatement signalé le message au service sécurité, prouvant une vigilance active. D’autres, en revanche, ont suivi les instructions, révélant un manque de remise en question face à une autorité perçue comme légitime.

💡 Astuce pratique : Incluez régulièrement des scénarios de faux messages de direction dans vos exercices de phishing pour habituer les équipes à questionner l’authenticité, même lorsqu’une demande provient d’un cadre dirigeant.

Ces résultats rappellent qu’une communication interne claire sur les procédures de validation est essentielle pour éviter toute action précipitée.

Bilan et leçons tirées

Ce test a confirmé que la combinaison d’urgence et d’autorité peut déstabiliser même des collaborateurs expérimentés. L’impact émotionnel d’une demande provenant du PDG a souvent primé sur les réflexes de vérification.

💡 Astuce : Instituer une politique de « double validation » pour toute demande inhabituelle émanant de la direction réduit considérablement les risques.

Cette simulation a renforcé notre conviction que des formations régulières, des tests inopinés et un feedback constructif sont indispensables pour entretenir une vigilance constante.

Conclusion

Les trois simulations — fausse mise à jour système, invitation à un webinar fictif et message urgent du PDG — ont permis d’identifier des failles critiques dans nos comportements face au phishing. Elles confirment que la formation et la sensibilisation ne doivent jamais être ponctuelles mais continues, adaptées et engageantes.

En appliquant ces enseignements, toute organisation peut améliorer sa posture de cybersécurité et réduire la probabilité de compromission par hameçonnage. Je vous invite à partager vos propres expériences ou à consulter nos autres ressources pour approfondir vos pratiques de sécurisation des communications.